PETITION: NON au plafonnement de la réparation des licenciements abusifs

 

Signez en cliquant sur le lien de la pétition

 

OUI AU DROIT A REPARATION INTEGRALE DU PREJUDICE  NON A L’IMPUNITE SOCIALE

 

Le Gouvernement a intégré en dernière minute UN AMENDEMENT à la LOI MACRON privant les salariés de la réparation intégrale du préjudice en cas de licenciement fautif de l’employeur.

 Ce texte foule aux pieds les principes d’égalité et de réparation intégrale du préjudice

Limiter la réparation du préjudice, c’est remettre en cause le principe selon lequel celui qui cause un dommage par sa faute s’oblige à le réparer entièrement.

  N’oublions pas qu’il ne s’agit pas de l’indemnité due pour tout licenciement mais de la sanction des licenciements illégaux, abusifs.

Cette mesure accrédite le discours patronal, fondé sur des préjugés consternants sur qui fustige les droits des salariés qui seraient des obstacles à la performance des entreprises.

Elle consacre l’idée selon laquelle  moins sanctionner les licenciements abusifs créerait de l’emploi !

L’usage du 49-3 n’a pas permis le débat parlementaire sur cette disposition illégitime…pour autant la loi n’est pas encore définitivement adoptée et nous pouvons encore faire changer les choses.  

C’est pourquoi le SAF (Syndicat des Avocats de France) LE SYNDICAT DE LA AMGISTRATURE 5sm°, les organisations syndicales de salariés  CFDT, CGT SOLIDAIRES, CFE CGC,FO et UNSA  appellent à signer massivement la pétition en ligne (et par tout moyen) pour obtenir la suppression du nouvel article du code du travail instituant une barémisation maximale des dommages et intérêts réparant les préjudices des salariés licenciés abusivement.   Signez et faite signez la pétition pour le retrait de cette disposition et pour soutenir toutes les actions que les organisations signataires continueront de mener si votre voix n’est pas entendue.  

NON à l’expulsion de nos locaux syndicaux ! RASSEMBLEMENT DEVANT LA MAIRIE DE BOULOGNE MARDI 30 JUIN A 12H

NON à l’expulsion de nos locaux syndicaux !

 

La Maison des Syndicats de BOULOGNE au 245 Boulevard Jean JAURES doit rester à l’usage de l’activité syndicale !

 

Stop à la remise en cause des libertés syndicales !

 

Salariés, en activité ou privés d’emploi, retraités, défendons nos droits et libertés.

 [download id= »58″]

Alertés à la suite de la décision prise par le Conseil Municipal de Boulogne- Billancourt d’expulser les organisations syndicales de la Maison des Syndicats située au 245, boulevard Jean Jaurès, et devant le danger imminent de cette expulsion qui prendrait effet au 31 Juillet 2015 nous appelons les syndicats des entreprises présentes sur la ville, les salariés et les retraités à réagir et à manifester leur refus de cette expulsion :

 

En se rassemblant le MARDI 30 JUIN, dès 12 h et jusqu’à 14 h, devant la Mairie de Boulogne

 

Cette décision d’expulsion est inacceptable. Elle va à l’encontre des intérêts des salariés travaillant et/ou habitant sur Boulogne, ainsi que des retraités et des salariés privés d’emploi qui sont très nombreux dans cette ville qui concentre près de 80.000 salariés répartis sur plus de 16.000 établissements, 25.000 retraités et 5400 chômeuses et chômeurs.

 

Cette décision d’expulsion est inacceptable. Elle porte atteinte aux fondements mêmes de la démocratie en s’inscrivant dans une série de remises en cause de plus en plus fréquentes des conditions d’hébergement des organisations syndicales par des municipalités, notamment en Ile de France, comme à Blanc-Mesnil, à Villejuif, à Nemours, à Viry-Châtillon, …

 

Ne laissons pas faire ! Mobilisons nous pour nos droits de travailleurs salariés et non libertés syndicales !